Boys Will Be Boys - Outtakes! - Tokio Hotel 2015 EP 12.
Gustav : Ne me mords pas !
Bill : Billets, s'il-vous plaît !
Olli : Gustav, arrête, espèce de cochon !
Bill : Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
Tom : Il m'est presque arrivé la même chose qu'à toi en Argentine. Non, c'était où ?
Bill : Tu es tombé sur scène ?
Tom : Oui, je suis tombé...
Bill : Le roi ! Encore une fois !
Georg : Reine B.
Bill : Reine B ! Assieds-toi, Reine T. Prince G et S½ur G.
Georg : La s½ur coquine G.
Bill : La s½ur coquine G ! La s½ur salope G !
Georg : Tu vas ouvrir le champagne ?
Bill : Oui, j'ai besoin de boire.
Georg : Pourquoi ?
Bill : Parce que mon son est horrible...
Georg : Bill, il n'est même pas encore cinq heures...
Bill : Et alors ? Je me suis levé à onze heures.
Georg : Tu t'es levé à onze heures, donc c'est ton petit-déjeuner ?
Bill : J'ai déjà pris mon petit-déjeuner, donc je peux boire.
Georg : C'est ma ceinture porte-bonheur. Je porte cette ceinture depuis... Je ne sais même plus combien de temps, sans doute huit ans, au moins. A chacun de nos concerts.
Gustav : Allons-y ! On va tirer sur tout le monde. Où est Olli ?
Tom : On peut aussi nettoyer les vitres.
Olli : Gustav, arrête, espèce de cochon !
Gustav : C'est très sale, ici.
Tom : Ceci est une attaque, les mains en l'air !
Olli : Arrête !
Bill : Voici notre directeur artistique, Andrew Brawl ! Si vous avez des questions, que vous voulez des autographes ou ce genre de choses, essayez de le contacter, il vit à Hambourg. Si vous voulez nous rencontrer en personne, passez chez lui.
Andrew Brawl : Je ne sais pas quoi dire...
Georg : En fait, c'est tout près de la cuisine où nous avons joué. Il a dit qu'il habitait à deux ou trois minutes de là.
Tom : La cuisine où nous avons joué ?
Georg : L'église ! J'ai vraiment dit « cuisine » ?
Gustav : Il vit près de la cuisine où nous avons joué !
Bill : On est bien habillés, mais on pue, juste pour que vous le sachiez... Donc...
Tom : Ne venez pas nous serrez dans vos bras !
– [à Gustav] Tu te rases toujours les jambes ?
Gustav : Oui, avec un rasoir électrique. Mais il n'y a rien qui pousse ici de toute façon.
Georg : Je ressemble à Rambo, non ?
Gustav : Ne me mords pas !
Georg : Nous avons beaucoup de rituels.
Tom : J'ai l'impression que je les ai tous oubliés.
Georg : Moi aussi, Tom, qu'est-ce qu'on va faire ? Oh mon Dieu, je ne t'ai même pas encore serré le bras.
Tom : Non, pas le bras...
Georg : Oh, je ne t'ai pas encore serré le bras !
Tom : Aïe, Georg !
Bill : Georg, fais attention ou je vais tomber. J'ai des muscles impressionnants, hein ?
Georg : Pff ! Je peux sentir ta colonne vertébrale avec mes doigts.
Gustav : Georg, je suis ton batteur.
Georg : Tu es mon batteur, hein !
– Gustav, arrête!
– J'aimerais être un chien. Ah, Gustav, ça suffit.
Bill : Barcelone, en Espagne. Ne te trompe pas, Bill !
– Munich !
Gustav : A Munich. Bonjour Munich!
Sur le chemin vers la salle de concert à Berlin, nous avons décidé de prendre à bord un homme qui attendait le bus et nous lui avons fait une petite blague, avec quelques caméras cachées dans notre bus de tournée. Il pensait monter dans un bus de remplacement allant vers la Friedrichstrasse.
Tom : Je peux mettre un film ?
Bill : Billets, s'il-vous plaît ! Vous devez payer en plus pour le film, vous savez ?
Tom : Oui, je sais.
Bill : Je peux voir si vous avez cela sur votre billet ? Oui, c'est bon.
– Vous avez besoin d'un autre billet. Le billet Feel It All. Où voulez-vous aller ? A la Friedrichstrasse ? Vous avez besoin d'un autre billet, alors. Je peux vous donner une autre place à l'arrière du bus. Vous devez aller ici ; il y a déjà quelqu'un, il n'a pas non plus de billet. Ou alors vous devez descendre du bus. Arrêtez immédiatement le bus ! Nous avons un resquilleur à bord ! Il aimerait aller à la Friedrichstrasse, mais il n'a malheureusement pas le bon billet.
Bill : Billets, s'il-vous plaît !
Olli : Gustav, arrête, espèce de cochon !
Bill : Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
Tom : Il m'est presque arrivé la même chose qu'à toi en Argentine. Non, c'était où ?
Bill : Tu es tombé sur scène ?
Tom : Oui, je suis tombé...
Bill : Le roi ! Encore une fois !
Georg : Reine B.
Bill : Reine B ! Assieds-toi, Reine T. Prince G et S½ur G.
Georg : La s½ur coquine G.
Bill : La s½ur coquine G ! La s½ur salope G !
Georg : Tu vas ouvrir le champagne ?
Bill : Oui, j'ai besoin de boire.
Georg : Pourquoi ?
Bill : Parce que mon son est horrible...
Georg : Bill, il n'est même pas encore cinq heures...
Bill : Et alors ? Je me suis levé à onze heures.
Georg : Tu t'es levé à onze heures, donc c'est ton petit-déjeuner ?
Bill : J'ai déjà pris mon petit-déjeuner, donc je peux boire.
Georg : C'est ma ceinture porte-bonheur. Je porte cette ceinture depuis... Je ne sais même plus combien de temps, sans doute huit ans, au moins. A chacun de nos concerts.
Gustav : Allons-y ! On va tirer sur tout le monde. Où est Olli ?
Tom : On peut aussi nettoyer les vitres.
Olli : Gustav, arrête, espèce de cochon !
Gustav : C'est très sale, ici.
Tom : Ceci est une attaque, les mains en l'air !
Olli : Arrête !
Bill : Voici notre directeur artistique, Andrew Brawl ! Si vous avez des questions, que vous voulez des autographes ou ce genre de choses, essayez de le contacter, il vit à Hambourg. Si vous voulez nous rencontrer en personne, passez chez lui.
Andrew Brawl : Je ne sais pas quoi dire...
Georg : En fait, c'est tout près de la cuisine où nous avons joué. Il a dit qu'il habitait à deux ou trois minutes de là.
Tom : La cuisine où nous avons joué ?
Georg : L'église ! J'ai vraiment dit « cuisine » ?
Gustav : Il vit près de la cuisine où nous avons joué !
Bill : On est bien habillés, mais on pue, juste pour que vous le sachiez... Donc...
Tom : Ne venez pas nous serrez dans vos bras !
– [à Gustav] Tu te rases toujours les jambes ?
Gustav : Oui, avec un rasoir électrique. Mais il n'y a rien qui pousse ici de toute façon.
Georg : Je ressemble à Rambo, non ?
Gustav : Ne me mords pas !
Georg : Nous avons beaucoup de rituels.
Tom : J'ai l'impression que je les ai tous oubliés.
Georg : Moi aussi, Tom, qu'est-ce qu'on va faire ? Oh mon Dieu, je ne t'ai même pas encore serré le bras.
Tom : Non, pas le bras...
Georg : Oh, je ne t'ai pas encore serré le bras !
Tom : Aïe, Georg !
Bill : Georg, fais attention ou je vais tomber. J'ai des muscles impressionnants, hein ?
Georg : Pff ! Je peux sentir ta colonne vertébrale avec mes doigts.
Gustav : Georg, je suis ton batteur.
Georg : Tu es mon batteur, hein !
– Gustav, arrête!
– J'aimerais être un chien. Ah, Gustav, ça suffit.
Bill : Barcelone, en Espagne. Ne te trompe pas, Bill !
– Munich !
Gustav : A Munich. Bonjour Munich!
Sur le chemin vers la salle de concert à Berlin, nous avons décidé de prendre à bord un homme qui attendait le bus et nous lui avons fait une petite blague, avec quelques caméras cachées dans notre bus de tournée. Il pensait monter dans un bus de remplacement allant vers la Friedrichstrasse.
Tom : Je peux mettre un film ?
Bill : Billets, s'il-vous plaît ! Vous devez payer en plus pour le film, vous savez ?
Tom : Oui, je sais.
Bill : Je peux voir si vous avez cela sur votre billet ? Oui, c'est bon.
– Vous avez besoin d'un autre billet. Le billet Feel It All. Où voulez-vous aller ? A la Friedrichstrasse ? Vous avez besoin d'un autre billet, alors. Je peux vous donner une autre place à l'arrière du bus. Vous devez aller ici ; il y a déjà quelqu'un, il n'a pas non plus de billet. Ou alors vous devez descendre du bus. Arrêtez immédiatement le bus ! Nous avons un resquilleur à bord ! Il aimerait aller à la Friedrichstrasse, mais il n'a malheureusement pas le bon billet.
Traduction par *Elena* pour le FC Officiel français
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